En août 1822, au moment de l'ouverture de son premier dépôt, Louis Nicolas, notre fondateur, s'était mis en tête de faire connaître son établissement au voisinage. Sur le prospectus qu'il fit imprimer, les curieux pouvaient lire : "Nous voulons mériter la confiance du public et concilier la qualité supérieure du vin avec un prix raisonnable."​

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Aujourd'hui, cette volonté est toujours d'actualité, et encore plus qu'ailleurs, chez Nicolas, la fidélité a du bon ! Le principe de la carte Privilège, gratuite, repose sur un système simple de cagnottage. Les clients cumulent des points au fil de leurs achats à la hauteur d'un point tous les cinq euros dépensés. Chaque point cumulé équivaut donc à 10 centimes de convertibles sur vos futurs achats, valable pendant 18 mois sur tous les produits en vente chez nous. Autrement dit, avec la carte privilège Nicolas, vous bénéficiez automatiquement de 2% de cashback sur vos achats.

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Autre point non négligeable : le nombre de points se calcule sur la base du prix de référence du produit acheté, c'est-à-dire le prix figurant au catalogue Nicolas. En cas de promotion sur une bouteille, le client cumule donc autant de poins que si la bouteille n'était pas soldée. Il est dès lors encore plus intéressant de profiter des offres promotionnelles.

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Par ailleurs, la carte Privilège donne accès à bon nombre d'événements organisés par Nicolas et ses partenaires : salons, dégustations en cave, ventes privées... L'adhésion au programme permet aussi de recevoir la newsletter de Nicolas, de bénéficier de conseils personnalisés à la demande, et de promotions en temps réel.

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Pour obtenir votre carte Privilège, c'est très simple : il suffit de se rendre chez votre caviste, qui vous remettra une carte physique à activer sous 60 jours. Et si vous êtes plutôt du genre à faire vos achats en ligne, aucun problème : il est possible d'obtenir une carte Privilège virtuelle depuis notre site en suivant ce lien.

Elle vous donne accès à tous les avantages précédemment cités. Franchement, il serait dommage de s'en passer, non ?